mercredi 27 juin 2012

La racaille libérale

Quelle criss de racaille pourrie que ces libéraux qui volent les images d'un internaute dans le but de ridiculiser et de mépriser, non seulement Pauline Marois, mais aussi des milliers de personnes descendues dans la rue pour manifester bruillamment avec des casseroles, symbole d'indignation emprunté aux Chiliens.
 

C'était écoeurant de voir aux nouvelles du soir de ce 26 juin 2012, la grosse face à Charest et celles de ses petits chiens Bolduc et Hamad, se marer en disant qu'ils n'ont fait qu'utiliser les images  des péquistes, ce qui forcément en justifierait l'utilisation par les libéraux, sans aucun égards aux droits d'auteur.
 

Malgré la malhonnêteté flagrante et persistante des libéraux, les médias continuent, non seulement d'accorder de la crédibilité à de telles tactiques, mais aussi de se faire le porte voix de ce genre de discours en le répétant sans cesse dans les bulletins de nouvelles et en première page des journaux.

Selon les experts en droits d'auteur, l'utilisation de ces images par les libéraux sans l'autorisation de l'auteur, est illégale. Ce crime ne fait que s'ajouter à ceux commis par ces bandits récidivistes, coupables de corruption, de financement illégal, d'abus de pouvoir, de bafouer la charte des droits et libertés et j'en passe....

Tous ces crimes resteront impunis voire même encouragés, la preuve en est que, malgré l'évidence d'utilisation illégale des images, les médias diffusent quand même la publicité libérale.

Mais on l'a vu avec les commandites, pour les forces fédéralistes et les médias à leur service, tout est permis pour arriver à leur fin, et l'illégalité n'est qu'un moyen parmis d'autres!

Peuple du Québec au bord du génocide! dixit Martineau-no

Dans le journal de mourial du 26 juin 2012, Richard Martineau-no, défenseur de la liberté de parole néolibérale et réactionnaire, sévit une fois de plus dans un de ses textes tout aussi insignifiant que les autres, dans lequel il compare le Québec à des peuple génocidaires tels que les Yougoslaves et les Rwandais.
Après avoir pleurnicher sur son sort de victime, innondé d'insultes et de menaces de mort, il se dit soulagé maintenant qu'il s'est réfugié à la campagne, loin de tous ces artistes et ces étudiants anarchistes-radicaux-enragés.
Incapable d'assumer sa position de chroniqueur d'opinion dans un journal populiste, qui attire autant, sinon plus d'insultes que d'approbations, il attribue à tous les membres de la société qui ne feraient pas partie de la majorité silencieuse, des prédispositions à la haine et au génocide comme en fait foi cet extrait: «Il n’y a rien de plus fragile que la paix sociale. Longtemps, je me suis demandé comment des Rwandais et des Yougoslaves qui avaient vécu paisiblement côte à côte pendant des décennies pouvaient, du jour au lendemain, se vouer une haine mortelle et se poursuivre dans les rues, machette à la main et bave aux lèvres.»
Afin de le guérir de sa profonde schizophrénie paranoïaque, je suggère à ce grand déconnecté de la réalité de prolonger indéfiniement son séjour à la campagne, de préférence au fin fonds d'un rang à des kilomètres de toute âme qui vive et surtout privé d'accès internet, afin de nous débarasser définitivement d'un incompétent qui parasite et pollue le paysage médiatique du Québec depuis trop longtemps.

La loi de la police

Toutes mes félicitations et mon admiration à Arsène Brosseau-Thiffault, agent de la paix au Palais de Justice de Montréal, pour avoir eu le très grand courage de défendre ses convictions au point d'en avoir perdu son emploi.
En effet, il a été congédié pour avoir porté le carré rouge entre la porte d'entrée du Palais de justice et le vestiaire.
En plus d'être victime d'un congédiement abusif, il «accuse au passage ses anciens collègues au Palais de justice de Montréal de faire du profilage politique. « On entendait sur les ondes radio : “ Il y a un carré rouge qui vient de rentrer, watchez-le ”» [Lire l'article publié dans le Devoir: Congédié pour un carré rouge? ]
Il réclame donc des excuses de la part de son employeur afin de rétablir sa réputation!
Il est donc important de souligner le geste de monsieur Arsène Brosseau-Thiffault et de le supporter dans ses démarches, car dans l'univers fermé des grosses polices brutes et épaisses dans lequel c'est la dictature plutôt que la démocratie qui règne, où tout se règle en famille, il y a peu de chances que justice soit rendue. 

Une commission pour les fraudeurs, des injonctions pour les étudiants

C'est éloquent de voir avec quelles précautions les acteurs de la pièce de théâtre mettant en vedette la juge Charbonneau et produite par le très honnête gouvernement Charest, tracent en ce début des audiences de la commission Charbonneau, les grandes lignes des stratagèmes frauduleux élaborés par des firmes d'ingénieurs et autres entreprises en construction, qui leur permettent de voler des milliards au trésor public, mais sans jamais nommer personnes et, bien évidemment, sans en arrêter aucun.
Il s'agit pourtant de crimes graves qui ultimement causent la mort en privant notre système de santé et d'éducation des moyens nécessaires pour prendre soin correctement des personnes malades ou en détresse. Des gens meurent dans nos hôpitaux faute de soins adéquats! Des enfants souffrent de détresse psychologique, dont plusieurs de suicident faute de support professionnel en nombre suffusant.
Mais ces crimes économiques graves causant la mort, commis par fraudeurs à cravate, trop souvent amis et pourvoyeur du parti libéral, sont aux yeux de notre merveilleux système de justice moins graves que de manifester sans donner son itinéraire à la police, ou d'encourager quelqu'un à le faire.
On a pu constater que nos juges sont beaucoup plus pressés d'accorder des injonctions à deux trois scabs contre une majorité d'étudiants qui ont démocratiquement votés pour la grève.
On a aussi tous vu comment les policiers ne s'encombrent pas de prendre le temps d'identifier qui a commis une effraction, ou même s'il y a eu effraction, non ils foncent dans le tas et procèdent à des arrestations massives où l'utilisation de violence excessive de la part des policiers est devenu la norme!
Voilà quelle genre de société que nous impose la gang de corrompus libéraux dirrigée pas Charest, dans laquelle les fraudeurs bénéficient d'un traitement de faveur, et où les étudiants qui se mobilisent pour le bien commun sont traités comme des bandits de grands chemins!

samedi 16 juin 2012

Glorification de la brutalité policière: la vraie banalisation de la violence!

Le plus terrifiant devant les actes de violence sauvage posés par les forces policières, c'est l'acceptation, voire même la glorification de cette violence commise par des policiers quasi psychopathes, tel que le démontre cet extrait d'un article publié dans la grosse presse à Desmarais dans lequel ce policier dit qu'il "ADORE ÇA"!: "« Je suis entré dans le groupe d’intervention pour qu’il y ait de l’action. Je suis formé pour ça » , dit l’agent Stephan Peixe. C’est sûr qu’on travaille beaucoup, mais on ne se plaint pas. C’est un peu comme nos séries de hockey en ce moment. J’adore ça. " J'imagine leurs discussions dans le vestiaire après la «game»: "Moé j'en ai fait saigner 4 à soir, pis toé? J'va surement avoir la médaille de «Rex le chien enragé» remis au meilleur compteur!"
Pis ça mossieur Charest, c'est pas de la banalisation de la violence?

Fred Pellerin cautionnerait la violence selon les libéraux!

Suite au refus de Fred Pellerin d'aller chercher son titre de chevalier de l'Ordre national du Québec (et de poser avec l'excécrable Mom Charest), la très solidaire et militante membre du club criminalisé des corrompus du parti libéral, Christine St-Pierre, a déclaré ceci: « nous, on sait ce que ça veut dire le carré rouge, ça veut dire l’intimidation, la violence, ça veut dire aussi le fait qu’on empêche des gens d’aller étudier ».
Les artistes n'ont pas tardé à réagir en demandant des excuses dans une lettre qui dénonce ses propos qui associent tout ceux qui portent le carré rouge à la violence et l'intimidation. En voici un extrait: " Il est plus que temps que vous et les membres de votre parti preniez les responsabilités qui vous incombent en tant que représentants politiques quand vous usez de tels moyens ...de propagande pour diviser l’opinion publique, en stigmatisant le port du carré rouge comme un geste soutenant la violence. Vous aimez « oublier » que ce mot qui vous vient si fréquemment aux lèvres n'est pas incarné par les centaines de milliers de personnes, étudiants et citoyens qui marchent chaque soir dans nos rues, mais par un corps policier qui multiplie honteusement les gestes de brutalité envers des manifestants pacifiques. Vous aimez « oublier », aussi, que cette violence est celle de vos mots menteurs et méprisants, de votre inaction et de votre irrespect envers une part grandissante de notre population."
À la demande de l'opposition de s'excuser, la très déshonorable sinistre St-Pierre en a rajouté: "« Nous avons tous vu qu’il y a eu des manifestations d’étudiants qui, parfois, ont conduit à des scènes tout à fait disgracieuses, des scènes ...d’intimidation, des scènes dont les médias ont été témoins et des images qui ont été rapportées sur tous les écrans de télévision. Ces façons de faire sont inadmissibles et c’est ce que j’ai voulu exprimer lorsque j’ai parlé du carré rouge.... Dans une société libre et démocratique, nous devons nous dissocier de la violence, nous devons nous dissocier des scènes que nous avons vues dans le métro de Montréal » "
Elle maintient donc que tous les citoyens du Québec qui appuient la cause étudiante par le port du carré rouge sont aussi de potentiels fomenteurs de violence. Ben ma criss de réac, toi pis ta gang de dictateurs libéraux, allez bientôt être victimes de la seule violence que vous méritez, un balaiage des leaders de la mafia libérale aux prochaines élections!

Port du carré rouge = profil criminel!

Après le profilage racial, nos forces policières font maintement dans le profilage des «carrés rouges» ou selon leur jargon du «profilage criminel», et ont la naiveté de nous dire que c'est normal, qu'elles ont toujours fait ça, comme en fait foi cet article du Devoir du 10 juin 2012: " Samedi, deux journalistes du Devoir ont entrepris de tirer l’affaire au clair en épinglant sur leur poitrine des carrés rouges avant de s’engouffrer dans la gueule du métro. Résultat? Interpellation rapide, détention pour fin d’enquête. «On fait juste ça, du profilage criminel», a indiqué de suite un des agents du Service de police de la ville de Montréal (SPVM) lors de la fouille de nos journalistes."
Le boutte du boutte est que le gouvernement Charest, champion défenseur de la démocratie, supporté par ses amis des empires Gesca et Péladeau via la plume de leurs «chroniqueux» réactionnaires (les Lapierre, Laroque, Martineau, Aubin, Facal, Duhaime, Hébert, Samson, Pratte, Marissal, Lagacé, Cardinal, Gagnon), ai réussi à faire passer le carré rouge de symbole d'une répartition plus équitable de la richesse, à celui de la criminalité voire même du terrorisme! Cette façon d'arriver par la répression à semer la graine de la peur dans la tête des gens afin qu'ils se soumettent d'eux-même aux dictats du pouvoir, est digne des régimes totalitaires pseudo-démocratiques qui se servent de la peur du terrorisme pour justifier la répression violente envers tous ceux qui osent les contester!

Le droit à une information libre: un enjeux capital

L'accès à une éducation gratuite est un enjeux important de notre société afin que les moyens financiers d'un individu désireux de s'instruire ne soit pas un obstacle. Toutefois, le droit à une information diversifiée et libre de toute pression économique ou politique est un enjeux encore plus importrant afin que le peuple dispose d'une information représentative de l'ensemble des courants idéologiques de la société lui permettant de faire des choix éclairés le temps venu.
Les enjeux de la concentration des médias sont très biens expliqués dans cet article dont voici un extrait: «Le taux canadien de concentration concernant la propriété de la presse quotidienne en est un des plus élevés du monde occidental. Entre 1992 et 1999, Southam a vendu ses journaux à Hollinger ce qui fait que le gro...upe de Conrad Black possède 56,2% des quotidiens canadiens. Dans sept provinces, près de 75% de la presse quotidienne appartient à un seul propriétaire. Quant au Québec, Quebecor et Gesca/Power se partagent 97,2% des quotidiens québécois [Sauvageau, 2000].... Pour le Conseil de presse du Québec (2003), malgré certains avantages liés à la concentration, les dangers sont nombreux. L’uniformisation et la standardisation du contenu fait en sorte que le pluralisme idéologique et la libre circulation des idées inhérents à la bonne santé démocratique d’un pays sont mis en péril. Cette situation constitue un danger puisque la diffusion de différents points de vue sur un enjeu est réduite. La diversité d’opinions et de sources d’information permet ainsi aux citoyens de se forger une idée éclairée sur une question sociétale.»
L'éducation s'acquiert d'abord et avant tout par les médias, chose que les détenteur de capitaux et les forces fédéralistes ont bien compris. Mais il ne suffirait que d'un gouvernement qui ne soit pas à leur solde pour voter des lois empêchant la concentration des médias et pour subventionner des télés et des journaux à contre courant de l'ordre politique et économique établis. Ainsi, tous les courants idéologiques de la société seraient représentés dans les médias permettant ainsi au peuple de faire des choix vraiement éclairés!

Omerta libérale: quel fin observateur que ce Marissal

Dans cet article publié le 4 juin 2012, le petit Marissal, membre des illustres chroniqueurs confortablement hébergés dans leur carré vide, s'étonne de l'omerta qui règne au sein du parti libéral! Hey le twitt, ça fait longtemps que ça dure, y'était temps que t'en parle (quel fin observateur de la société que ce Marissal)!
Et pourtant, du temps des dissensions au Parti Québécois, nos intrépides «journalisses» sillonnaient les sentiers les plus éloignés du Québec pour aller arracher une déclaration anti-Marois et d'en faire la une de leur torchon fédéralo-néo-libéral. Mais pas un ostie de ces fins limiers pour enquêter sur la triste omerta qui règne au sein du parti libéral alors qu'aucun gouvernement n'a été aussi détesté et contesté avant lui. Criss, jama j'crairai qu’y'a pas un seul député ou encore aucun membre de ce parti dictatorial qui ne conteste pas les agissements de ce gouvernement qui non seulement impose sa dictature au sein même de son parti, mais à l'ensemble de la société québécoise!
Mais à force de ne pas mordre la main de ceux qui les nourrissent, ces lavettes de «journaleux» finiront complètement abrutis, tout comme Winston dans le film 1984, ils finiront par perde toutes leurs convictions morales, prêts à accepter sincèrement n'importe quelle vérité, aussi contradictoire soit-elle, pourvu qu'elle émane de leur généraux bienfaiteur et maître!

Les étudiants défendent les riches!

L'arrogance et le mépris de la part de ce triste individu qu'est Sir John Charest envers les étudiant a atteint son paroxisme lorsqu'il a déclaré lors de la conférence de presse du 31 mai que les étudiants défendent les riches!
Lui qu'on a vu avec ses amis et les amis de la puissante et milliardaire famille Desmarais lors d'un faste banquet dans lequel il s'est certainement inspiré pour son plan Nord et pour l'élaboration de son cadre financier dans lequel il augmente les taxes et les tarifs pour la population mais dans lequel il maintient et pourquoi pas augmente pour ses riches amis, leurs privilèges fiscaux!
Qui croit-il berner avec cette affirmation sauf peut-être les partisans libéraux aveuglés par les principes d'utilisateurs payeurs si chers à l'idéologie néolibérale.
Le plus grave dans ce genre de déclaration c'est que non seulement elle déligitime l'action des leaders étudiants qui mènent un combat pour faire progresser la société, mais ça amplifie le sentiment de haine qu'une partie de la population entretient envers les étudiants.
Amnistie internationale et l'Onu peuvent bien s'inquiéter des actes que pose ce gouvernement qui loin d'appaiser la crise sociale dans laquelle il a précipité le Québec, ne font que l'attiser en antagonisant encore d'avantage les québécois les uns envers les autres!

Atteinte au droits fondamentaux: se comparer pour se justifier!

Après Amnistie Internationale, c'est au tour de l'ONU qui presse le gouvernement " « de faire respecter pleinement les droits à la liberté de réunion pacifique, d'expression et d'association des étudiants » touchés par la loi spéciale...... « la législation récemment adoptée restreint indûment le droit d'association et de réunion pacifique au Québec »Réponse du gouvernement par la bouche de La ministre des Relations internationales du Québec, Monique Gagnon-Tremblay : "[elle] s'est adressée à la presse pour dire aux observateurs onusiens de se pencher sur des problèmes plus criants. « Au lieu, bien sûr, de regarder le Québec actuellement, [...] l'ONU pourrait peut-être regarder les crises majeures qui se passent actuellement, que ce soit en Syrie ou alors au Mali »"
Veut-elle nous dire que tant que nous n'en serons par rendu à des excès comparables à ces pays, les atteintes aux droits fondamentaux par le gouvernement ne doivent pas être dénoncés pas quiconque? On voit bien à quel genre dérive ce gouvernement est prêt à plonger le Québec.

C’est un peu comme nos séries de hockey en ce moment. J’adore ça.

Pendant que sont constatés de nombreux cas de brutalité policière, des charges sauvages et des encerclement des manifestants, des arrestations massives et de nombreux blessés, parfois gravement, parmis les manifestants, le tout dénoncé par Amnistie Internationale, l'irresponsable grosse Presse publie un important article sur deux pages qui décrit le travail palpitant des forces policières, comparé à la série «24 heures».
Dans cet article, publié dans le 30 mai 2012, intitulé «Dans les coulisses des manifs», les imposants moyens techniques et les très nombreux effectifs y sont décrits, tout comme la ferveur avec laquelle ces effectifs, très bien entrainés, ne vivent que pour ce genre d'action qu'ils qualifient de «série de hockey» auxquelles ils adorent participer, dont voici un extrait: "« Je suis entré dans le groupe d’intervention pour qu’il y ait de l’action. Je suis formé pour ça » , dit l’agent Stephan Peixe. C’est sûr qu’on travaille beaucoup, mais on ne se plaint pas. C’est un peu comme nos séries de hockey en ce moment. J’adore ça."
 On a en effet pu constater combien plusieurs de ses exaltés confrères s'en sont donné à coeur joie dans cette "série de hockey" où comme au hockey, tous les coups sont permis et où tous ceux qui commettent des actes de violence excessive sont rârement punis.
Les actes de violence que les policiers commettent " parce qu'ils adorent ça " sont encore plus écoeurantes et condanmables car elles sont commises contre des jeunes gens sans défense.
Mais ça prends-tu des irresponsables totalement insensibles pour publier ce genre de reportage en pleine période de crise pendant laquelle des centaines de personnes se sont fait brutalisées pour le simple fait d'avoir manifesté dans la rue!
La descence et le minimum de respect pour toutes ces victimes de brutalité policière aurait voulu que l'insignifiante Presse ne publie pas un tel reportage.
Mais à quoi s'attendre d'autre de ce torchon au service de la classe dominante, que la glorification du travail de ces policiers mercenaires à la solde de cette même classe dominante!