N'oublions pas que Sir Charest était vice-président du Comité national pour le «NON» au férendum de 1995, du temps qu'il était chef du parti conservateur. Un 1997 il quitte la scène fédérale pour devenir chef du Parti libéral du Québec pour... sauver le Québec de la menace souverainiste. Le plus consternant c'est qu'il règne en maitre sur le Québec depuis 2003, règne pendant lequel il aura accompli sa mission de massacrer les services publics, de brader nos richesses naturelles, de faire de l'anglais la langue du travail et de faire que la souveraineté "ça n'intéresse plus personne". Grand "canadian" que ce Charest, pour qui les fédéralistes s'empresseront après son règne d'ériger un monument sur la colline parlementaire avec la mention: "Captain Canada, the saviour of our great country".
vendredi 30 décembre 2011
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